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Les Kongossas de l'environnement en Afrique

                                   
       

COP 16: Participation de la BAD à la 16e Conférence des Parties (COP16)

L'Organisation des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) a été créé en 1992 au Sommet de Rio dans le but d'aborder la question du réchauffement climatique et ses conséquences. La Conférence des Parties (CdP) est l'autorité suprême de décision de la CCNUCC et ses séances ont lieu une fois par an pour spécifier les règles de mise en œuvre la CCNUCC.

La Banque africaine de développement (BAD) la participation du Groupe à ces processus de négociation intergouvernemental de la CCNUCC est entièrement dans son orientation stratégique en ce qui concerne l'objectif de la Banque visant à promouvoir la gestion des risques du changement climatique et l'adaptation en Afrique. Comme toutes les autres banques multilatérales de développement (BMD) et les Nations Unies (ONU) des organisations, la BAD a seulement "le statut d'observateur" lors de cet événement. Cela signifie qu'il ne peut pas prendre part aux négociations et ne peut exercer son influence grâce à un soutien pour renforcer la capacité des gouvernements de ses pays membres régionaux de pays et de leurs négociateurs. Toutefois, la Banque est toujours invité à prononcer une déclaration lors du débat ministériel de haut niveau qui ne peut être prononcé par le Président de la Banque.

Activités de la BAD

La participation de la Banque à la conférence vise à accroître sa visibilité au sein de la communauté changement climatique mondial, en particulier en ce qui concerne ses efforts et son expérience dans la promotion du développement respectueux du climat en Afrique et dans la gestion des fonds liés au climat. La BAD mettra également à profit ses partenariats existants et des réseaux à mettre en œuvre des programmes de changement climatique en Afrique. Les activités spécifiques incluent:

Exposition sur les activités de la BAD sur les changements climatiques
Monday, 29 Novembre au vendredi, Décembre 10, Hôtel Moon Palace
Banque mixte multilatérales de développement (BMD) Side Event technique
Monday, Décembre 6, 13h20-14h40, Messe Cancun Complexe
Fonds d'investissements climatiques (FIC) de haut niveau sur le côté de l'événement
Wednesday, Décembre 8, de temps (TBC), Cancun Messe complexe
Banque africaine de développement (BAD) Evénement parallèle sur le Fonds pour l'Afrique verte
Thursday, Décembre 9, 18:30 - 8:00 pm, Jaguar chambre, complexe Messe Cancun
Déclaration de haut niveau par le Président Groupe de la Banque
Thursday, Décembre 9, de temps (TBC), Moon Palace Hôtel
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COP 16:La BAD à la conférence sur le changement climatique à Cancun

Tunis le 29 novembre 2010 - Une délégation de la Banque africaine de développement (BAD) est arrivée à Cancun, au Mexique, pour participer à la Seizième Conférence des Parties (COP 16) membres de la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC), qui aura lieu du 29 novembre au 10 décembre 2010.

La délégation de la BAD, dirigée par son président Donald Kaberuka, organise le 29 décembre 2010, un événement parallèle sur «Le Fonds vert africain». Cet événement a pour objectif de fournir aux parties prenantes de premier plan au niveau international une plate-forme d'échange sur le projet de Fonds vert africain comme un instrument devant permettre aux pays africains d'améliorer leur accès aux ressources mondiales en vue de relever les défis du changement climatique sur le continent.

Une présentation de haut niveau sera faite suivie de débats qu'animeront le président de la BAD, Donald Kaberuka, le président de la Commission de l'Union africaine (CUA), Jean Ping, le secrétaire exécutif de la Commission économique des nations Unies pour l'Afrique (CEA), Abdoulie Janneh, et le directeur général de l'Initiative panafricaine de la société civile sur le changement climatique pour les dialogues sur les politiques, Lindiwe Sibanda.

La BAD participera à Cancun à plusieurs autres événements, dont le lancement du premier rapport annuel sur le Fonds d'investissement climatique (FIC) et profitera de l'occasion pour élargir ses partenariats et ses réseaux actuels pour exécuter des programmes de changement climatique en Afrique.

La participation de la Banque à la conférence vise à accroître sa visibilité au sein de la communauté mondiale sur le changement climatique, en particulier en ce qui concerne ses efforts et son expérience dans la promotion du développement compatible au climat en Afrique et dans la gestion des fonds liés au climat. 

Créée en 1992 lors du Sommet de Rio pour contrer le réchauffement climatique et ses conséquences, la Conférence des Parties de la CCNUCC est la plus haute instance de prise de décision dans le domaine, et elle se réunit une fois par an pour préciser les règles d'action.
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COP 16: Conférence sur le climat à Cancun (Mexique) du 29 Novembre au 10 Décembre 2010


La prochaine conférence sur le climat de l'ONU se tiendra à Cancun (Mexique) du 29 novembre au 10 décembre 2010. Les nations signataires des négociations sur le changement climatique se retrouveront afin de trouver un accord international pour remplacer le protocole de Kyoto, qui expire en janvier 2013.

Cet accord doit permettre de limiter l'augmentation de la température de la Terre à maximum 2°C. Ce sera la 16ème réunion des parties, d'où le nom de COP 16 attribué à la réunion de Cancun.
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COP 16: Les enjeux de la conférence sur le climat à Cancun (Mexique) 


Du 29 novembre au 10 décembre se tiendra la 16ème COP (Conference of parties). C'est l'organe officiel décisionnel de la Convention cadre des Nations unies sur le Changement Climatique (1992) et son Protocole de Kyoto (1997). Tour d'horizon des enjeux.

Après l'échec de Copenhague

Souvenez-vous, il y a un an, l'espoir était de revenir de Copenhague avec un successeur plus ambitieux au Protocole de Kyoto, c'est-à-dire un traité comportant des objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre (pic d'émission avant 2015, réduction d'au moins 50% en 2050), le financement des mesures d'atténuation et d'adaptation pour les pays les plus pauvres et vulnérables, un caractère contraignant et enfin, un calendrier. Il n'en est rien. Copenhague a finalement accouché d'un accord politique minimaliste. La seule avancée significative fût que les deux plus grands pays émetteur de gaz à effet de serre, USA et Chine, ont reconnu l'importance de la lutte contre le changement climatique et ses conséquences.

L'échec est donc grave, non seulement vis-à-vis des opinions publiques (européennes et dans de nombreux pays en voie de développement à tout le moins), mais aussi par rapport aux résultats de Kyoto et à la rapide dégradation de la situation climatique.

Au-delà d'une Conférence mondiale sur la lutte contre le réchauffement climatique – contre lequel tous les pays ont réitéré leur volonté de lutter, et l'accord le rappelle –, la conférence était aussi celle de la redéfinition du leadership mondial, quelque peu délaissé par les Etats-Unis dans ce domaine. Force est de constater que la conclusion du sommet laisse augurer d'une gouvernance mondiale redéfinie : ce sont les Etats-Unis et la Chine qui ont défini les grandes lignes de l'accord avec le Brésil, l'Afrique du Sud et l'Inde. L'Union européenne ne faisait pas partie de ce cercle de 5 pays et a été contrainte d'y adhérer, sans s'être vraiment concertée.

Par la suite, 55 États de la communauté internationale ont, à la date butoir du 31 janvier 2010, transmis les engagements contraignants qu'ils souscrivent en matière de réduction de leurs émissions de gaz à effet de serre. Ce chiffre démontre que l'accord suscite une adhésion qui est large et va croissant, et qu'à présent, la majeure partie des États sont fermement résolus à renforcer leurs dispositions de lutte contre le changement climatique. Cependant, ces engagements cumulés sont insuffisants pour atteindre l'objectif retenu dans le même accord, c'est-à-dire de maintenir le réchauffement de la planète sous la barre des 2°C par rapport à la période préindustrielle.

Les objectifs de Cancun

La première « période d'engagement » du protocole de Kyoto se terminant en 2012, l'objectif principal de la conférence sur le climat de Cancún devrait être de trouver un accord entre tous les pays sur ce que sera l'après-2012 : quels objectifs de réduction d'émissions de gaz à effet de serre, sous quelle forme et pour quels pays ? Quels mécanismes pour atteindre ces objectifs ? Comment les financer ? Comment favoriser la mise en place de mesures d'adaptation aux changements climatiques dans les pays en développement ? Devrait, car tout porte à croire que si des avancées devaient avoir lieu, nous ne serions pas encore proches d'un nouveau traité international en matière de lutte contre le réchauffement climatique.

Rappelons que l'enjeu est crucial puisque les émissions mondiales de GES doivent commencer à décliner le plus rapidement possible (et en tout cas pour 2015 au plus tard) afin d'éviter que les conséquences des changements climatiques soient dramatiques et irréversibles.

L'opportunité de conclure un accord juste et ambitieux

Ecolo plaide pour la conclusion d'un accord international global juste, ambitieux et juridiquement contraignant pour lutter contre le réchauffement climatique le plus rapidement possible. Ecolo estime que la conférence de Cancún représente une opportunité pour réaliser des avancées cruciales en vue de la conclusion de cet accord. Ecolo est d'avis que les responsables politiques tergiversent trop devant les évidences des travaux scientifiques. Chaque année perdue rend la lutte contre le réchauffement plus difficile et plus coûteuse, et ralentit le développement des technologies et emplois durables.

Ecolo estime que l'ensemble des travaux scientifiques plaident pour qu'une réaction rapide soit mise en œuvre pour lutter contre le réchauffement climatique et ses effets néfastes, qui risquent de toucher particulièrement les pays les plus pauvres de la planète alors que les responsables historiques des émissions de gaz à effet de serre sont les pays les plus riches.

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Espèces africaines d'eau douce en danger


Un rapport de l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature) a dévoilé ce jeudi que 21% des espèces d'eau douce d'Afrique continentale seraient menacées d'extinction, ce qui mettrait en péril les moyens de subsistance de millions de personnes. Cette étude devrait permettre d'aider à mieux gérer les eaux intérieures du continent et les richesses biologiques qu'elles abritent.

L'extinction d'une seule espèce peut déséquilibrer tout un écosystème et être à l'origine d'une catastrophe écologique. En Afrique, plus d'un cinquième des espèces d'eau douce seraient menacées d'extinction. Dans le cadre d'une étude menée par l'UICN (Union internationale pour la conservation de la nature), 5 167 espèces africaines d'eau douce (dont tous les poissons, mollusques, crabes, et libellules connus, ainsi que quelques familles de plantes aquatiques) ont été évaluées par 200 scientifiques sur une période de cinq ans. La pêche intensive, l'agriculture, l'extraction d'eau, les barrages et les espèces exotiques envahissantes sont les principales menaces qui pèsent sur ces espèces.

L'étude, rendue publique hier, met en lumière l'état menacé de l'environnement naturel et comporte des informations essentielles pour les décideurs en vue de l'exploitation et la gestion des ressources en eau douce sur le continent africain. Les résultats sont particulièrement importants pour les gestionnaires, puisque les espèces ont été cartographiées et rattachées à leurs bassins hydrographiques respectifs.

Au lac Malawi (Mozambique), un groupe de poissons connu localement sous le nom de « chambo » est une source d'alimentation importante. Considérablement surpêchée, Oreochromis karongae, une espèce menacée appartenant à ce groupe, a vu sa population diminuer de 70% depuis dix ans. Au lac Victoria (Kenya, Ouganda, Tanzanie), le déclin de la qualité de l'eau et l'introduction de la perche du Nil a entraîné une importante réduction des populations d'espèces endémiques depuis trente ans, mettant en danger la pêche traditionnelle. Ayant évalué 191 espèces de poissons du lac Victoria, cette récente étude a trouvé que 45% étaient menacées ou considérées comme éteintes.

7,5 millions de personnes dépendent directement de la pêche en eau douce

Dans la région africaine des grands lacs (Afrique de l'Est), le poisson est la principale source de protéines et de revenus pour de nombreuses populations comptant parmi les plus pauvres du continent. Il est estimé qu'en Afrique sub-saharienne, 7,5 millions de personnes dépendent de la pêche en eau douce. Cette étude devrait être un outil précieux permettant de sauvegarder la pêche, ainsi que l'approvisionnement en eau douce.

« L'Afrique abrite une diversité étonnante d'espèces d'eau douce, dont un grand nombre ne se trouve nulle part ailleurs », explique William Darwall, directeur du projet et chef de l'Unité de la biodiversité d'eau douce de l'UICN. « Si nous n'enrayons pas l'extinction de ces espèces, le continent va perdre irréversiblement de sa biodiversité, mais également des millions de personnes vont perdre une source essentielle de revenus, d'aliments et de matériaux. »
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MAURITANIE: Vers une pêche durable?


Le secteur de la pêche en Mauritanie est en chute libre. La baisse des ressources halieutiques, due à une surexploitation du milieu marin, est la principale cause de ce déclin, mais pas la seule. Pillages des eaux et accords de pêche non respectés interpellent également le ministère des pêches et de l'économie maritime. Il a mis en place une mesure drastique mais nécessaire : un repos biologique de deux mois, débuté le 1er mai 2010, interdisant la pêche à près de 300 bateaux. Suivi d'un autre, ce mois de septembre.

Pêcheurs et poissons, même combat… survivre ! « Il y a une surexploitation de certaines ressources de fond, comme le poulpe. D'autres ressources sont totalement exploitées et tendent à disparaître », explique Azza Jiddou, directrice de l'Aménagement des Ressources et de l'Océanographie (DARO) au ministère des Pêches et de l'Economie Maritime mauritanien.

Pêche abusive, pillages, non-respect des accords de pêche signés avec d'autres pays. Autant de difficultés auxquelles les autorités mauritaniennes se doivent d'apporter des solutions. La dernière en date, prescrite par le ministère des pêches et de l'économie maritime : le repos biologique. Destiné à régénérer les fonds marins, il préconise un arrêt total des pêches industrielles pour une durée de deux mois. Elle a pris effet ce 1er mai. Conséquence : 300 bateaux bloqués dont plus de 150 européens. Les pêcheurs artisanaux ont dû, eux, suspendre leur activité pour une durée d'un mois. « L'arrêt de la pêche fait partie de la gamme classique des mesures techniques de gestion des ressources halieutiques, en vigueur en Mauritanie », indique le site du ministère des pêches. Une seconde phase de repos devait débuter ce mois de septembre. « Des plans poulpes et des plans crevettes ont également été mis en place en 2006 et 2009 pour permettre à ces espèces de se reproduire », indique Azza Jiddou.

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NAGOYA 2010 : Point d'orgue de l'année internationale de la biodiversité 


Jusqu'au 29 octobre, le Japon accueille la 10ème conférence de la Convention sur la diversité biologique. Elle rassemble des représentants des 193 pays signataires du traité. Si les Etats membres doivent trouver les moyens d'enrayer la disparition de nombreuses espèces, ils vont surtout discuter du partage et de l'exploitation des ressources offertes par la nature.

La Conférence de Nagoya, point d'orgue de cette année de la Biodiversité n'est pas le lieu où pourra être signé un accord international
comme ce fut le cas à Copenhague.

A Nagoya Il va y avoir des discussions très techniques et sur chaque point vont se nouer des alliances à géométrie
variable entre les Etats.

Il faut rappeler que les Etats-Unis n'ont pas ratifié la convention et qu'ils n'auront qu'un rôle secondaire, que la convention dont les principes ont été fixés en 1992 insiste sur la responsabilité du Nord à l'égard des pays du Sud.

Le succès ou l'échec de cette conférence reposeront évidemment sur l'engagement politique des uns et des autres...

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Les objectifs de la convention de Nagoya 

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Le texte s'articule autour de trois piliers. Le premier objectif est de conserver les différents éléments de la biodiversité : les gènes, les espèces et les écosystèmes.

Le 2ème pilier est d'assurer l'utilisation durable de la biodiversité notamment en ce qui concerne l'exploitation des ressources halieutiques ou l'utilisation des milieux agricoles.

Et le 3ème grand objectif, au cœur des discussions de cette 10ème conférence, est «l'accès et le partage des avantages découlant de l'utilisation des ressources génétiques issues de la biodiversité ». Un concept expliqué par Raphaël Billé, directeur du programme biodiversité et adaptation à l'IDDRI, l'Institut du développement durable et des relations internationales : « L'accès et le partage des avantages, c'est d'une part –pour ce qui concerne l'accès- garantir aux entreprises des pays du Nord et des secteurs notamment pharmaceutique, cosmétique ou des centres de recherche, qu'elles pourront accéder aux ressources génétiques qui se trouvent dans les forêts tropicales des pays du Sud, et garantir cet accès dans des conditions correctes ; et puis dans le même temps garantir le partage des avantages c'est-à-dire garantir que le profit que ces entreprises tireront des ressources génétiques, qu'elles auront été piocher dans les pays du Sud, sera redistribué dans les pays du Sud dans des conditions équitables ». 

Qu'attends t-on de Nagoya?

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On attend de la conférence de Nagoya l'adoption d'un plan stratégique ambitieux et réaliste pour les 10 prochaines années, plan qui devrait se décliner en une vingtaine de programmes d'actions. On attend aussi l'adoption d'un accord contraignant sur l'accès et le partage des
avantages, que l'on vient d'évoquer et enfin, que la question du financement et donc de l'engagement des Etats pour financer tout cela,
soit posée.

Jean BAKOUMA, chargé de certification au WWF mène l'enquête...

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40% des bois tropicaux importés en France sont coupés sans autorisation.
"c'est un phénomène dangereux parce que 13 millions d'hectares de forêt disparaissent chaque année selon la FAO. L'exploitation illégale y est pour beaucoup et cela perturbe la biodiversité."

Un documentaire réalisé par IMUNGA IVANGA 

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Le Gabon vert
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Titre du panneau

En prélude à la Conférence des Nations Unies sur le changement climatique (COP16), la BAD vous invite à partager vos points de vue et vos opinions sur un sujet clé :

Le financement du climat : d'où viendra l'argent ?

La position défendue avec ardeur par les pays en développement, c'est que le financement destiné à gérer les effets du changement climatique est une mesure compensatoire obligatoire pour le monde développé, et doit donc venir s'ajouter à l'aide. Partagez-vous cette position ?

L'accord de Copenhague, qui n'a aucune force obligatoire, engage les pays développés à fournir des ressources accrues, nouvelles et additionnelles, prévisibles et en quantité suffisante, pour atténuer les effets du changement climatique et les efforts d'adaptation dans les pays en développement les plus vulnérables (30 milliards de dollars EU par an sur la période 2010-2012, et 100 milliards de dollars EU par an d'ici l'an 2020). Mais pour l'heure, il n'y a aucune base claire permettant de calculer les financements nouveaux et additionnels en question. Les pays en développement craignent que les pays nantis s'acquittent de cette obligation en détournant l'aide au développement.
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Cette crainte est-elle fondée ? Y a-t-il des solutions de rechange ?

Exclusion de responsabilité

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Deux Femmes pour la COP 16 à Cancun


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Portrait de Christiana FIGUERES -  Secrétaire Exécutif de la CCNUCC pour la COP 16

"Le secrétariat est heureux de travailler avec le gouvernement mexicain en vue de COP16/CMP6 où des mesures fermes doivent être prises pour répondre au défi climatique."

Christiana Figueres a été nommé comme nouveau Secrétaire exécutif de la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC) par le Secrétaire général Ban Ki-moon, le 17 mai 2010. La nomination a été approuvée par le Bureau de la Convention.

Mme Figueres a été impliqué dans les négociations des changements climatiques depuis 1995. Elle a été membre du Costa Rica et l'équipe de négociation représentée en Amérique latine et les Caraïbes sur le Conseil d'administration du Mécanisme de développement propre en 2007, avant d'être élu vice-président du Bureau de la Conférence des Parties 2008-2009.

En 1995, elle a fondé le Centre pour le développement durable des Amériques (CSDA), à but non lucratif de réflexion pour la politique de changement climatique et le renforcement des capacités. qu'elle a dirigé jusqu'en 2003. De 1994-1996, elle a servi comme directeur du Secrétariat technique, l'énergie renouvelable dans les Amériques (EREA).

Mme Figueres a commencé sa vie de service public en tant que ministre conseiller à l'ambassade du Costa Rica à Bonn, en Allemagne en 1982. Elle a servi comme Directeur de la Coopération internationale au ministère de la Planification au Costa Rica (1987-1988), puis a été nommé chef de cabinet du ministre de l'Agriculture (1988-90).

Mme Figueres a siégé à plusieurs conseils d'administration des organisations non gouvernementales impliquées dans les questions du changement climatique, y compris le Carbon Standard volontaire. Elle est aussi un auteur publié de nombreux ouvrages sur la conception de solutions pour le climat, et a été un conseiller fréquentes au secteur privé sur la façon de jouer un rôle de premier plan dans l'atténuation.

Mme Figueres titulaire d'une maîtrise en anthropologie de la London School of Economics, et un certificat en développement organisationnel de l'Université de Georgetown. Elle est née à San José, Costa Rica en 1956 et est marié avec deux enfants.

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Portrait de Patricia ESPINOSA - Présidente de la COP 16


vec une volonté politique et une perspective pragmatique, Cancun peut être le début d'une ère nouvelle d'accords sur le changement climatique."

Patricia Espinosa Cantellano  Ministre des Affaires étrangères depuis le 1er décembre 2006 à été nommé comme nouveau Président de la Convention cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC)

Elle a été membre du Service extérieur mexicain depuis le 16 Septembre, 1981, et a été promu à l'ambassadeur en Janvier 2000.

De Juin 2002 à Novembre 2006, elle a servi comme ambassadeur en Autriche, en Slovénie et en Slovaquie et en tant que Représentant permanent auprès des Organisations internationales à Vienne, et de 2001 à 2002, ambassadeur auprès de la République fédérale d'Allemagne.

Elle a été directrice générale des organisations régionales des Amériques au Secrétariat des Affaires étrangères, de 1997 à 1999, coordonnateur national pour le Groupe de Rio, le Sommet ibéro-américain, et l'Amérique latine et Caraïbes - Union européenne Sommet.

Elle a été affectée à la Mission permanente du Mexique auprès de l'Organisation des Nations Unies à New York, de 1993 à 1997. En Septembre 1997, elle a terminé son mandat en tant que Président de la 3ème session du Comité, à la 51e session de l'Assemblée générale des Nations Unies.

Elle a été directrice des organisations internationales au Secrétariat des Affaires étrangères, de 1991 à 1993.
De 1989 à 1991, elle a servi comme chef de cabinet du sous-secrétaire des Affaires étrangères.

De 1982 à 1988, elle était responsable des affaires économiques à la Mission permanente du Mexique auprès de l'Organisation des Nations Unies à Genève.

Né le 21 Octobre à Mexico, Patricia Espinosa a fait ses études à l'école allemande Alexander von Humboldt à Mexico, et a complété une année universitaire dans Ahrensburg, Allemagne. Elle est diplômée en relations internationales de El Colegio de México, et poursuit ses études de troisième cycle en droit international à l'Institut de Hautes Etudes Internationales à Genève. Elle parle couramment l'allemand, l'anglais et le français.

Ambassadeur Espinosa est marié et a deux enfants.

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Accord de pêche entre l'Afrique et l'Europe : Un enjeux vital

L'Afrique et l'Union Européenne, unis pour une pêche durable ? Signataires de différents accords de partenariat dans le domaine de la pêche depuis les années 1980, les deux continents tentent, de concert, de réguler les prises et de limiter la surpêche dans les eaux africaines. Mais ces accords ne sont pas toujours équilibrés. Ainsi, une mission du Parlement européen en visite en Mauritanie a entamé, mercredi, des discussions préparatoires d'un nouvel accord de pêche "amélioré" entre l'UE et le pays africain qui s'appliquerait en 2012.

L'Afrique, paradis des pêcheurs ? Considérée comme la zone la plus poissonneuse du monde, les eaux de l'océan atlantique qui bordent le continent africain attirent les chalutiers du monde entier. La bande côtière s'étirant sur 2 000 km entre le Maroc et la Guinée-Bissau reste la plus fréquentée. En tête du palmarès, l'Europe. Entre 1993 et 1997, une moyenne de 240 000 tonnes par an (surtout du thon et des crevettes) ont quitté les côtes africaines pour rejoindre le marché européen. Malgré de nombreux accords de partenariat dans le domaine de la pêche (APP) signés entre les pays membres de l'Union Européenne et les pays côtiers africains depuis les années 1980, la baisse des ressources halieutiques semble imparable.



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MONDE: Echecs des objectifs du sommet de la terre de 2002 a Johannesburg

La stratégie adoptée en 2002 à Johannesburg lors du Sommet mondial sur le développement durable visait à « assurer, d'ici à 2010, une forte réduction du rythme actuel de perte de diversité biologique aux niveaux mondial, régional et national à titre de contribution à l'atténuation de la pauvreté et au profit de toutes les formes de vie sur la planète ».

Le constat fait et partagé par tous est que cet objectif n'a pas été atteint. Comme l'a déclaré le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, le 22 septembre dernier lors de la session spéciale de l'Assemblée générale des Nations Unies dédiée à cette question : "le déclin global de la biodiversité s'accélère ».

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MONDE:  Climat: "Les modèles ne peuvent pas tout prévoir"


Les climatologues se réunissent à l'Unesco pour plancher sur les méthodes de prédiction des catastrophes naturelles. Quelques repères sur notre vulnérabilité face à ces phénomènes.

Spécialistes internationaux - en météorologie, en hydrologie, en océanographie - statisticiens, c'est le gotha des experts en climatologie que l'Unesco accueille actuellement pour trois jours en ces murs. 

Objectif: plancher sur les méthodes de mesure et de prévision des catastrophes naturelles, ces événements extrêmes (inondations, canicules, sécheresses, cyclones, variations du niveau de la mer) dont l'intensité va croissant. Un travail laborieux où il est à la fois question de prévisions météorologiques, d'observations satellitaires et de modèles de simulation climatique. 

En marge de cette rencontre, les repères d'Hervé Le Treut, directeur de l'Institut Pierre-Simon Laplace, spécialiste de la modélisation du climat - blogueur de lexpress.fr - et d'Emmanuel Garnier, historien du climat, enseignant chercheur du Laboratoire des sciences du climat et de l'environnement (CEA-CNRS).

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TANZANIE: Le parc naturel de Serengeti menacé par un projet routier

Le parc naturel du Serengeti a beau être classé au Patrimoine mondial de l'humanité de l'Unesco et faire partie des derniers sanctuaires de vie sauvage de la planète, il n'en reste pas moins menacé.

Le gouvernement tanzanien envisage d'y construire une large route et a nommé un groupe de travail chargé de le conseiller sur ce projet très controversé.
"A ce stade, le gouvernement n'a pas changé de position à propos de cette route", a ajouté le haut fonctionnaire, qui n'a pas précisé la composition du groupe de travail. Le projet de construction, à partir de 2012, d'une route de 50 km à travers le parc national vise à relier le lac Victoria (dans le Nord-Ouest) à Arusha, plus à l'est. Il permettrait ainsi de réaliser le vieux projet d'une voie de communication économique entre l'Ouganda, le Rwanda, le Burundi et la République démocratique du Congo d'un côté, la côte est de la Tanzanie, au bord de l'océan Indien, de l'autre.
Le parc naturel du Serengeti menacé par un projet routier

MONDE: Les 17 Pays les plus pollueurs au chevet des négociations sur le climat

Un Forum sur l'énergie et le climat doit se tenir lundi et mardi à New York, près d'un an après l'échec de Copenhague. Les émissaires de dix-sept pays contribuant ensemble à 80 % des émissions de CO2  dans le monde doivent tenter de trouver des moyens de débloquer les négociations sur le climat.

Ce forum se tiendra au niveau des émissaires gouvernementaux, tels que le représentant américain pour le climat, Todd Stern, selon le département d'Etat américain. "Je ne pense pas que quiconque s'attende à une annonce spectaculaire", a observé Michael Levi, qui suit le dossier sur le climat au Council on Foreign Relations, un institut privé de recherches de New York. "Il s'agit d'une rencontre de travail entre un grand nombre d'acteurs importants sur ce sujet se trouvant au même endroit, en même temps", à l'occasion de la session annuelle de l'Assemblée générale de l'ONU
Les 17 pays les plus pollueurs au chevet des négociations sur le climat 

GABON: Site web Conférence Biodiversité 

Au moment où les Nations Unies ont décidé de célébrer l'année internationale de la biodiversité, la conservation de la biodiversité en Afrique s'impose comme un enjeu pour tous. En même temps le continent doit relever le défi de l'éradication de la pauvreté et l'atteinte des objectifs du millénaire pour le développement.

La République Gabonaise consciente que les ressources biologiques renouvelables de la Planète représentent une opportunité unique pour le développement économique et social de l'humanité toute entière a décidé d'organiser une conférence panafricaine de haut niveau pour contribuer au débat et à la politique internationale sur les liens entre la protection de la biodiversité et le développement économique.

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Biodiversité et lutte contre la pauvreté: Quelles opportunités pour l'Afrique

GABON: Conférence sur la Biodiversité

Rufin Pacôme Ondzounga mobilise le corps diplomatique

En prélude à la conférence sur la biodiversité que Libreville abritera du 12 au 17 Septembre prochain, le ministre en charge du développement durable, Rufin Pacôme ONDZOUNGA, s'est entretenu ce vendredi avec les Chefs des missions diplomatiques et postes consulaires au Gabon, et a appelé à leur mobilisation pour la réussite de l'évènement;

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GABON / Conférence sur la biodiversité: Rufin Pacôme Ondzounga mobilise le corps diplomatique

MONDE - Le désert avance, "la vie" recule


L'ONU a lancé, lundi 16 août, une décennie d'actions pour enrayer ce qu'elle considère comme le plus grand défi environnemental de notre époque : la sécheresse.

C'est donc à Fortaleza, au Brésil, dans une région semi-aride (tout un symbole), qu'elle a lancé cette Décennie de lutte contre la désertification (2010-2020). Chaque année, c'est l'équivalent de la surface du Bénin, soit 12 millions d'hectares de terres arables qui disparaissent. Un enjeu humain, environnemental et financier colossal…

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Le desert avance, "la vie" recule
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